
Porteuse d’un prénom qui voyage de la suisse au Japon, Maïti Chagny grandit dans un monde d’architectes, où regard d’observations et voyages agissent comme fondement de sa personnalité en devenir. Conçue dans l’hybridité culturelle –une mère allemande et un père français, ayant grandi au Congo belge - elle vient au monde à côté de Johannesbourg. Maïti se passionne déjà très jeune pour les environnements urbains et la recherche sur l’identité et l’habitat.
S’en suit, inévitablement une formation d’architecture. L’enseignement reçu en arts appliqués pose l’esquisse d’une pratique en rapport avec les couleurs, pour l’étudiante qui teste alors l’aquarelle mais laisse rapidement ce médium lorsqu’elle découvre l’acrylique et s’investit dans les années 1990 dans l’art qui l’accompagne depuis.
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S’en suit, inévitablement une formation d’architecture. L’enseignement reçu en arts appliqués pose l’esquisse d’une pratique en rapport avec les couleurs, pour l’étudiante qui teste alors l’aquarelle mais laisse rapidement ce médium lorsqu’elle découvre l’acrylique et s’investit dans les années 1990 dans l’art qui l’accompagne depuis.
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Biographie
Porteuse d’un prénom qui voyage de la suisse au Japon, Maïti Chagny grandit dans un monde d’architectes, où regard d’observations et voyages agissent comme fondement de sa personnalité en devenir. Conçue dans l’hybridité culturelle –une mère allemande et un père français, ayant grandi au Congo belge - elle vient au monde à côté de Johannesbourg. Maïti se passionne déjà très jeune pour les environnements urbains et la recherche sur l’identité et l’habitat.
S’en suit, inévitablement une formation d’architecture. L’enseignement reçu en arts appliqués pose l’esquisse d’une pratique en rapport avec les couleurs, pour l’étudiante qui teste alors l’aquarelle mais laisse rapidement ce médium lorsqu’elle découvre l’acrylique et s’investit dans les années 1990 dans l’art qui l’accompagne depuis. Son art ne prend pourtant son envol que dans les années 2000 lorsqu’elle donne naissance à une série qu’elle peint à plat. Sa technique devient mixte–avec un mélange d’acrylique, d’encre de chine, de pastels gras, de mines – qu’elle utilise alors par terre, au travers d’un langage corporel. Maïti expose sa peinture à Montréal en 2001 et 2002.
S’en suit, inévitablement une formation d’architecture. L’enseignement reçu en arts appliqués pose l’esquisse d’une pratique en rapport avec les couleurs, pour l’étudiante qui teste alors l’aquarelle mais laisse rapidement ce médium lorsqu’elle découvre l’acrylique et s’investit dans les années 1990 dans l’art qui l’accompagne depuis. Son art ne prend pourtant son envol que dans les années 2000 lorsqu’elle donne naissance à une série qu’elle peint à plat. Sa technique devient mixte–avec un mélange d’acrylique, d’encre de chine, de pastels gras, de mines – qu’elle utilise alors par terre, au travers d’un langage corporel. Maïti expose sa peinture à Montréal en 2001 et 2002.

Lorsqu’elle arrive à l’Ile Maurice en 2002, elle pense y trouver certaines vérités et ressent cette connexion à l’Afrique et à son enfance. Son travail artistique se poursuit principalement sur papier, elle commence toujours par le désir de créer et privilégier la rapidité d’application et le séchage et les superpositions possibles de l’acrylique, pour illustrer ses sujets abstraits et semi abstraits où la couleur donne le ton. Sa peinture commence dans le déséquilibre et l’inconfort, dès les premières tâches posées sur le papier et évoque le souvenir de Motherwell qui expliquait que se lancer dans l’art abstrait consistait entre autre à réparer l’accident.
Peintre et architecte, Maïti aime le non programmé et les variations des lignes de couleurs qui donnent naissance à quelque chose rempli de vie et d’expression. Son art est une grâce où chacun voit ce qu’il souhaite voir dans une poésie colorée qui voyage jusqu’à l’infini.
Peintre et architecte, Maïti aime le non programmé et les variations des lignes de couleurs qui donnent naissance à quelque chose rempli de vie et d’expression. Son art est une grâce où chacun voit ce qu’il souhaite voir dans une poésie colorée qui voyage jusqu’à l’infini.
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